70ème Chapitre de la Commanderie Haut Languedoc les 1, 2 et 3 décembre 2023
PROGRAMME
VENDREDI 01 décembre 2023
19H30 Repas d’accueil au Palladia
21H Concert au Palladia
Le groupe NouS ce sont 4 artistes toulousains (Éric Alias Chant, Franc Pleindoux Piano, Claviers, Mélodica, Jean-Hugues Mauté Basse, Contrebasse, Guitare, Alexandre Sauvion Batterie, Percussions).
Le spectacle «Nougaro fait son cinéma», est une véritable lettre d’amour à Nougaro ! Durant deux heures, en 25 chansons, dont deux medleys, une partie acoustique les quatre musiciens créent une véritable dynamique autour de la vie de Nougaro depuis ses débuts en 1962, alimentant la narration d’éléments très peu connus, ses chansons sont comme des mini-films, le Ciné-Mot est ici.
SAMEDI 2
Quelques propositions pour la matinée du
1. La place du Capitole
Lieu emblématique de la ville rose, la place du Capitole fait partie des grands incontournables pendant votre visite de Toulouse. Entièrement réservée aux piétons, cette place illustrée par son immense croix Occitane est entourée de jolis bâtiments aux briques roses, symboles de la ville. Le lieu accueille aussi l’hôtel de ville et le théâtre, abrités sous le fameux Capitole. Sous les arcades, levez la tête pour découvrir 29 fresques de Raymond Moretti retraçant l’histoire de Toulouse de la Vénus de Lespugue à l’aéronautique et l’espace.
2. La Basilique Saint-Sernin
Visiter Toulouse, c’est aussi ne pas passer à côté de la Basilique Saint-Sernin, inscrite au Patrimoine mondial de l’Unesco. C’est l’un des plus grands édifices romans français. Elle tient son nom du premier évêque de Toulouse. En son sein, vous découvrirez de magnifiques peintures et aurez l’occasion d’approcher le sarcophage de l’évêque Saint-Saturnin.
3. Le marché Victor Hugo situé sur la place éponyme
Visiter Toulouse, c’est aussi déguster les spécialités de la ville, profiter de produits régionaux de qualité et surtout, locaux. On vous conseille d’aller au marché Victor Hugo pour flâner entre les différents étals qui mettent littéralement l’eau à la bouche ! Du boulanger au maraîcher en passant par le boucher ou encore le poissonnier, les exposants vous accueillent et les restaurants de l’étage proposent de faire durer le plaisir !
4. Le couvent des Jacobins
L’ accès à la grande salle principale du couvent des Jacobins est gratuit. Vous pourrez y découvrir son « palmier » qui tient son nom de par l’aspect de l’architecture intérieure.
L’église des Jacobins, considérée comme l’une des plus belles églises dominicaines d’Europe, mesure 80 mètres de long pour 20 mètres de largeur.
CHAPITRE MAGISTRAL
18H Accueil des participants
18H30 Mise en place du défilé
19H Chapitre Magistral
20H30 Dîner de Gala
DIMANCHE 3 décembre
11H Orchestre de Chambre de Toulouse « BETES DE PUB » au Palladia
Samuel Barber (1910-1981) : Adagio/ Franz Schubert (1797-1828) :Barry Lindon-Andante du trio op 100/ Georges Bizet (1838-1875) : Carmen/ Franz Lehar (1870-1948) :Valse de la Veuve Joyeuse/ Johannes Brahms (1833-1897) :Danse hongroise n°5/ Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791) : Petite Musique de Nuit, Symphonie 40, thème/ Jean-Sébastien Bach (1685-1750) :Aria/ Jules Massenet (1842-1912) Méditation de Thaïs/ Luigi Boccherini (1743-1805) Menuet/ Camille Saint-Saëns (1835-1921) Aquarium / Johann Strauss (1825-1899) Le beau Danube bleu
Vous connaissez forcément tous ces airs ! Ils ont été repris tant de fois, pour tant de films ou de publicités que vous les avez forcément entendus sans peut-être savoir qui avait composé quoi. Cet usage utilitaire de la musique n’a rien de choquant. Depuis la nuit des temps, la musique sert à faire danser les gens, accompagne les histoires que les hommes aiment à se raconter… ou plus effrayant leur donne du courage au combat. Dans un registre moins guerrier, combien de « joggeurs » et « joggeuses » ne courent qu’en écoutant de la musique avec une oreillette ? La musique détient un pouvoir hypnotique qu’il est tentant d’utiliser, et quand un « air » est particulièrement réussi il pénètre durablement notre psyché. Les compositeurs baroques, entre 1550 et 1750 environ, ont même théorisé cet usage, en affirmant que la musique exprimait nos « passions » quand bien même ils ne sont pas d’accord entre eux sur le nombre et la nature de ces passions. Il ne faut malgré tout pas exagérer la capacité manipulatoire de la musique : cela ne marche que si l’on accepte de se laisser faire et de s’y abandonner !