Catégorie : Culture

24 Mai 2024 – Visite du Parc Oriental de Maulévrier

24/05/ 24.                                          Le Parc de Maulévrier.

 

En ce mois de mai 2024, trop souvent pluvieux, les Anysetiers de Touraine avec leurs sympathiques nouveaux membres poitevins ont eu les faveurs d’un soleil généreux et d’une agréable température pour profiter au maximum du magnifique Parc Oriental de Maulévrier.

Un accueil chaleureux et un repas animé au restaurant « le Cheval Blanc » de Saint-Pierre des Echaubrognes a permis de resserrer les liens. Pendant le dessert, les voix se sont tues pour écouter avec attention notre animatrice avant un brève projection. « Entrer dans un jardin japonais n’est pas une simple promenade; c’est un voyage intérieur, intime, un art de vivre ». La conception, inspirée des paysages nippons, procède d’influences religieuses, philosophiques. Les périodes historiques et culturelles ont laissé leurs empreintes et défini l’esthétique : Depuis l’immigration coréenne du 3ème siècle avec les jardins-cours, aux influences occidentales contemporaines. Du Shintoïsme animiste qui à travers chaque élément de la nature, sacrée, relie l’homme au divin. Le Bouddhisme, avec sa quête du bonheur, de l’instant présent , de l’harmonie, de la paix par la compassion et la bienveillance universelle. Par la philosophie Taoïste, voie de la sagesse, de l’équilibre. Jardins paradis, jardins de thé, jardins minéraux ZEN. Jardins promenades. Jardins empruntés à la nature. Jardins où chaque élément est symbolique : les rochers, les végétaux,  la circulation de l’eau, les saisons, les objets votifs…

Le château Colbert, a été détruit par les guerres de Vendée, abandonné, reconstruit, racheté par un industriel choletais. La restauration du parc confiée à l’architecte Alexandre Marcel, passionné d’Extrême-Orientalisme et qui lui a donné son identité japonaise. Après un long abandon, il est racheté par la commune. Une association de bénévoles se crée à partir des années 80.  Un travail de remise en état, dans le respect des techniques et des références japonaises l’ont fait reconnaître comme « Jardin Remarquable d’inspiration EDO » par le Ministère de la Culture en 2004 et les Universités horticoles de Tokyo et Nigata et en 2022 par l’Association des Jardins Japonais. Nos amis, avec plans et indications sur les lieux ont pu rêver librement en poursuivant à leur rythme la découverte de ce parc inspirant et magnifique.

 

Séjour en crète mai 2024

Ce jeudi 16 mai 2024, rendez-vous est donné à 6 h 30 à Sorbiers aux 24 participants du voyage programmé pour la Crête.

10 h 30, l’avion décolle de Saint Exupéry. A 14 h 30, nous voici à HERAKLION. L’équipe animation du Club Marmara nous accueille et nous rejoignons l’hôtel ATHINA PALACE à LYGARIA. Le lieu est magnifique : 3 piscines, 2 bars, une immense salle à manger. Les valises déposées dans nos chambres, vite, nous revêtons le maillot de bain pour prendre un premier bain, tant attendu, vu la température laissée en France.

A partir de là, chacun programme son séjour comme il l’entend : promenades, excursions, baignades …

HERAKLION la capitale.

S’il y a un endroit à ne pas manquer en Crète, c’est bien le Palais de KNOSSOS datant d’environ de 4000 ans. C’est ici que le redoutable Minotaure aurait été enfermé dans le labyrinthe.

Poursuivons avec la fontaine du Lion vénitien, puis empruntons la route du marché pour terminer notre promenade au vieux port avec sa forteresse.

LA CHANIA en passant par ARKADI

Dans cette dernière, nous découvrirons le Monastère, symbole des luttes crétoises pour l’indépendance, après le suicide collectif des combattants.

Direction LA CANEE ou CHANIA, cité d’une grande beauté et un charme particulier avec ses monuments vénitiens.

Nous flânerons dans la rue des bijouteries et celle du cuir.

Filons au sud à MATALA.

C’est ici que nous avons donné rendez-vous à notre ami Franck VALENTIN et à Martine, en voyage également.

La journée a été dédiée à la visite de cette petite bourgade et à la baignade.

A l’Est de l’île : AGIOS NIKOLAOS et la petite île de SPINALONGA.

Pour accéder vers cette dernière, il faut emprunter un bateau au port d’ELOUNDA. La ville est entourée de murs. Elle a abrité une forteresse vénitienne, une ville ottomane et une colonie de lépreux qui lui a donné son surnom d’île des larmes.

Mais tout à une fin, et ce jeudi 23 mai, nous étions attendus à 4 h 00 pour prendre un dernier petit déjeuner.

Décollage à 07 h 30 pour une arrivée à 9 h 40.

Nous revenons plein de souvenirs.

Le séjour a été agréable si bien que la veille du départ, des idées de futurs voyages ont été émises.

Alors à l’année prochaine.

Une Deuzième Tournée Européenne, contrastée, pour Mozart.

Une nouvelle fois, Jacques Branger, Conférencier-Musicologue, a enchanté l’esprit et les sens de la Commanderie, sur les pas de la famille Mozart, pour sa deuxième tournée européenne, plus diverse que son premier périple, entre 1763 et 1767.

 

Seuls Léopold, son père, Maître de chapelle à la cour du Prince-Archevêque de Salzbourg, grand électeur de l’Empire Romain-Germanique (et donc allemand et non autrichien) et sa mère, Anna Maria accompagnent Wolfgang, à Vienne, pendant seize mois (jusqu’à la fin de 1768), avec l’objectif de présenter un opéra (La Finta Simplice), à l’occasion du mariage de la Princesse Maria Josepha, avec le Roi Ferdinand de Naples : ce sera un fiasco et un voyage désastreux (avec, en plus, une épidémie de variole).

 

 

Entre 1770 et 1773, Wolfgang effectue trois voyages, en Italie, avec son père. A l’occasion du premier séjour italien, les Mozart suivront la Semaine Sainte, à Rome, où le jeune prodige retranscrit, à l’oreille, le Miserere d’Allegri, présenté dans la Chapelle Sixtine : il est nommé Chevalier de l’Ordre de l’Eperon d’Or, par le Pape Clément XIV. A Bologne, il rencontre et travaille avec le Père Martini, qui le fait recevoir à 14 ans à l’Académie Philarmonique (accessible aux plus de vingt ans!).  L’étude de l’opéra italien, avec Giambattista Sammartini, s’illustre par le “Mithridate, Re di Ponte”, l'”Ascanio in Alba”, préparés et présentés à Milan (en 1770 et 1771).

Le retour à Salzbourg (décembre 1772), après des séjours à Venise, Padoue,….. est marqué par une cohabitation difficile avec le nouveau Prince, Colloredo, qui impose et commande des oeuvres “modernes”.

Souhaitant quitter Salzbourg, il rencontre Joseph Haydn, à Vienne, où il compose les six quatuors à cordes, puis répond à une commande de Maximilien III de Bavière, en créant l’opéra “La Finta Giardiniera” (1775). Son renvoi par Colloredo lui permet de visiter , entre septembre 1777 et janvier 1779, Munich, Augsbourg, Mannheim (rencontre de Aloysia Weber, dont il est fort amoureux et qui le délaissera en décembre 1778) et Paris, en quête d’une situation et accompagné de sa mère (celle-ci décède à Paris, le 3 juillet 1778).

Echec professionnel, ce voyage participera à la maturité humaine et artistique du jeune prodige Mozart.

 

Après cette belle nourriture de l’esprit, les soixante participants ont fait honneur au dîner, préparé par notre ami anysetier, Eric Lebreton et prolongé, amicalement, la soirée.

 

 

 

Les Frères Alcala

 

Les frères Alcala
CREATEURS DE LA MANUFACTURE “ALCALA FRERES SA”
Perpétuent la tradition transmise par leur père venu d’Espagne dans les années 60, en élaborant une palette de produits d’excellence.
Passionnés de gastronomie et riches de leurs nombreux voyages, les deux frères souhaitent partager avec vous divers produits coup de cœur découverts au fil de leurs rencontres.
Passeurs de relais, les deux frères vous invitent à vivre de beaux moments dont plaisir et convivialité seront les maîtres mots, au travers de produits d’exception.

INDRE EN BERRY – Conférence sur l’Art Japonais

 

INDRE EN BERRY – Retour sur la Conférence Inaugurale sur l’Art Japonais et la Peinture Chinoise

 

 

 

 

 

 

Le 8 avril dernier, un événement captivant a illuminé nos esprits alors que nous explorions les subtilités et les nuances de l’art japonais et de la peinture chinoise lors de la conférence inaugurale.

La conférencière émérite, Sandrine Anysetière depuis novembre 2023, nous a guidés à travers les méandres de ces traditions artistiques, offrant des perspectives nouvelles et des éclairages fascinants sur leur histoire et leur évolution. Son expertise éclairée a élevé notre compréhension de ces formes d’expression artistique, nous invitant à plonger plus profondément dans leurs richesses culturelles.

 

Nous tenons à exprimer notre profonde gratitude envers Sandrine notre Commanderie, en 2022 elle nous a fait découvrir les nuances de l’écriture japonaise et pour sa contribution remarquable à cette conférence et pour son dévouement à l’étude et à la promotion de l’art japonais et de la peinture chinoise. Son engagement indéfectible envers ces domaines a été une source d’inspiration pour nous tous.

Sandrine fait également partie de l’équipe de rédaction qui prépare le premier numéro de l’Echo de l’Indre en Berry, notre future Gazette.

Cette conférence marque le début d’un voyage fascinant à travers les arts visuels asiatiques, et nous sommes impatients de poursuivre cette exploration enrichissante.

 

N’oubliez pas de rester à l’affût des prochains événements et initiatives culturelles alors que nous continuons à vous proposer des manifestations regroupant le culturel et la gastronomie, dans le but de récupéré des fonds pour nos actions caritatives.

 

Bien sûr après ce brillant exposé, un déjeuner gourmet a clôturé la journée. Sandrine a fait venir une Japonaise qui la perfectionne en Japonais et lui apprend le Coréen, certainement une future conférence.

 

Histoire du Mauler

Fondé au 6e siècle par des moines venus de Bourgogne, le Prieuré St-Pierre de Môtiers, au cœur du Val-de-Travers, fut pendant près d’un millénaire l’un des plus grands centres religieux de la région. Spiritualité, mais aussi hospitalité et convivialité caractérisent ce site dont la destinée vinicole fut initiée par les bénédictins.

C’est dans ce lieu d’exception que la famille Mauler crée depuis 1829 avec passion et dans le respect de la méthode traditionnelle ses grands vins mousseux.

LA MAISON MAULER

Une vallée bucolique et paisible, un ancien monastère bénédictin où résonnent encore les chants grégoriens, de mystérieuses caves aux voûtes séculaires… c’est dans ce décor d’exception que la famille Mauler crée depuis 1829 avec passion et dans le respect de la tradition ses grands vins mousseux.

UN LIEU CHARGÉ D’HISTOIRE

Fondé au 6e siècle par des moines venus de Bourgogne, le Prieuré St-Pierre de Môtiers, au cœur du Val-de-Travers, fut pendant près d’un millénaire l’un des plus grands centres religieux de la région. Spiritualité, mais aussi hospitalité et convivialité caractérisent ce site dont la destinée vinicole fut initiée par les bénédictins.

UNE TRADITION PRESTIGIEUSE

Depuis plus de 195 ans, la famille Mauler perpétue avec une vocation intacte l’art de l’effervescence instauré par son ancêtre Louis-Edouard et se transmet de précieux secrets de fabrication. Marque réputée pour la qualité et la finesse de ses vins, la maison Mauler exportait déjà au 19e siècle ses cuvées au-delà des mers, à Hong Kong, San Francisco ou Buenos Aires. Depuis, cette renommée ne s’est jamais démentie.

LE RESPECT D’UN SAVOIR-FAIRE

La méthode traditionnelle, utilisée dès l’origine, exige un savoir-faire complexe et infiniment de soin. Le rituel est immuable : une sélection rigoureuse des cépages et des raisins mûris sur les coteaux ensoleillés du lac de Neuchâtel ; un assemblage subtil après une première fermentation ; une seconde fermentation en bouteille suivie d’une lente maturation dans l’obscurité à température constante; enfin le remuage cadencé, le dégorgement et le dosage avant l’habillage final de la bouteille de sa parure de fête

LE PRIEURÉ ST-PIERRE

Le village de Môtiers tire son origine du mot « moustier » qui signifie monastère.

LA PÉRIODE BÉNÉDICTINE

D’après des fouilles archéologiques récentes, la fondation du Prieuré St-Pierre remonte au 6e siècle. L’existence de deux églises parallèles à partir du 8e siècle montre l’importance spirituelle du lieu : l’église Notre-Dame pour les paroissiens et l’église St-Pierre destinée aux moines.

Le monastère a subi plusieurs phases de transformations durant sa longue histoire. Il a notamment été agrandi considérablement au 11e siècle par les moines bénédictins.

L’église de style roman était de vastes dimensions, 35 m de long par 20 m de large. La crypte, la seule du canton de Neuchâtel, est encore visible dans les caves où vieillissent aujourd’hui les cuvées Mauler. Les voûtes gothiques du chœur et l’exceptionnelle charpente en forme de carène renversée datent du début du 16e siècle.

L’APRÈS-RÉFORME

En 1536, après mille ans de présence ininterrompue, les moines sont chassés par la Réforme et se réfugient dans l’Abbaye de Mont-Benoît en Franche-Comté, emportant avec eux toutes les archives. Le Prieuré est sécularisé deux ans plus tard. L’église est transformée en grenier pour y abriter les recettes et impôts en nature et les bâtiments conventuels deviennent la résidence des receveurs princiers.

Le Prieuré St-Pierre passe ensuite en plusieurs mains. Jean-Jacques Rousseau, qui a séjourné à Môtiers de 1762 à 1765, envisage même d’y aménager une imprimerie pour la première édition de ses œuvres complètes.

L’ÈRE MAULER

En 1859, Louis-Edouard Mauler, d’origine alsacienne, s’y installe, séduit par ses caves immenses et profondes à température constante. Il reprend ainsi un établissement créé en 1829 par Abram-Louis Richardet, déjà célèbre à l’époque pour ses grands vins mousseux.

LA MÉTHODE TRADITIONNELLE

Depuis l’origine, la maison Mauler est fidèle à la méthode traditionnelle et se transmet de génération en génération le savoir-faire et les secrets de fabrication de ses grands vins mousseux.

COMMENT PRODUIT-ON UN GRAND VIN MOUSSEUX ?

Il existe plusieurs méthodes pour produire un vin effervescent :

  • La méthode traditionnelle caractérisée par une première fermentation du vin en cuve suivie d’une seconde fermentation lente en bouteille après ajout de la liqueur de tirage.
  • La méthode en cuve close qui se distingue par une double fermentation en cuve et non en bouteille. Cette technique est utilisée pour produire en grande quantité des vins mousseux de qualité moyenne.
  • La méthode par gazéification basée sur l’ajout artificiel de gaz carbonique dans le vin. Elle est utilisée par exemple pour la production de certains vins pétillants sans alcool.

LES CÉPAGES SÉLECTIONNÉS PAR MAULER

  • Le pinot noir est la véritable colonne vertébrale des grandes cuvées Mauler. Ce cépage noble apporte à l’assemblage structure, solide charpente, corps, équilibre et ampleur.
  • Le chardonnay contribue lui aussi à la structure et à la solidité du vin tout en le faisant bénéficier de sa finesse et de son bouquet réputé.

Pour compléter l’assemblage de ses cuvées, Mauler sélectionne également avec soin d’autres cépages :

  • Le chenin apporte vivacité, personnalité, terroir particulier, le tout dans une bonne structure.
  • Le colombard, apprécié pour ses arômes fruités et épicés, équilibre et complète la cuvée.
  • Le cabernet sauvignon, aux arômes de mûres et de cassis, pour accentuer les notes de fruits rouges.
  • Le cabernet franc, confère du caractère à la cuvée, très aromatique et végétal.

Les raisins proviennent en partie des vignes de la famille Mauler, mais également de plusieurs producteurs de Neuchâtel, de Suisse et de France.

LES PRINCIPALES ÉTAPES DE LA MÉTHODE TRADITIONNELLE

La Méthode Traditionnelle, utilisée dès l’origine par la Maison Mauler, exige un savoir-faire complexe et beaucoup de soin, de temps et de patience.  Comportant 17 étapes, les plus caractéristiques sont les suivantes :

  • Sélection rigoureuse des cépages.
  • 1ère fermentation des moûts en cuve.
  • Assemblage subtil des vins (étape cruciale et délicate qui permettra de différencier chaque cuvée millésimée ou non millésimée).
  • Tirage ou mise en bouteille (ajout préalable de la liqueur de tirage : sucre de canne + levures sélectionnées de champagne).
  • Prise de mousse ou 2e fermentation en bouteille (2-3 mois à température constante de 12°, pression de 6 bars dans la bouteille).
  • 20 à 36 mois de maturation ou de vieillissement sur lies dans nos caves (ce qui permet au vin de développer tous ses arômes).
  • Remuage cadencé (pour faire descendre et rassembler le dépôt de fermentation sur le bouchon).
  • Dégorgement (à la volée ou par congélation) pour expulser le dépôt de fermentation.
  • Dosage: ajout de la liqueur d’expédition pour déterminer si la cuvée va être « brut », « sec ou dry » ou encore « demi-sec ».
  • Bouchage, museletage et habillage de la bouteille.

Et si Madagascar m’était contée…

Et si Madagascar m’était contée…

 

Une trentaine d’auditeurs, réunis au deuxième étage de la bibliothèque d’Eymet, ont écouté Frère André CARRERE  leur parler de la terre où il vécut pendant 45 ans.

Membre de la Congrégation des Frères de Saint Jean-Baptiste de la Salle -fondateur au XVIIIème siècle des Frères des Ecoles Chrétiennes – le Frère Carrère a vécu la plus grande partie de sa vie à AMBOSITRA où il exerçait la fonction de directeur du centre de promotion rurale.

Le frère CARRERE nous parle donc de ce peuple Malgache qu’il connait bien, avec respect et engouement. Passionnant et passionné, il nous expose ce qui lui semble être essentiel à la compréhension de ce peuple : le culte des ancêtres et la seule vraie richesse : les enfants.

                     

L’intérêt de l’auditoire est grand quand il nous parle des nombreuses croyances dont le culte des ancêtres qui permet de faire le lien entre le monde vivant et le monde surnaturel. Les malgaches ont l’habitude d’invoquer les ancêtres à l’occasion de tous types de rituels, cela en vue d’assurer la protection de leur descendance.

Le « famadihana » ou « retournement des morts » – une tradition qui se célèbre en présence de toute une collectivité – sert justement à demander conseil et protection au défunt, tout en réservant à celui-ci un certain confort pour son départ dans l’au-delà.

La culture malgache reflète les différentes vagues de populations qui sont à l’origine du peuplement de l’Ile que ce soit en provenance de l’Asie, de l’Afrique et de la France lors de la colonisation ou de la culture arabe.

Les fady (tabous ou interdits) y sont ancrés de façon séculaire. Ils régissent l’accès aux sites sacrés, ainsi que les comportements à adopter vis-à-vis de la population et de son environnement. Ils varient en fonction des régions, des ethnies, mais parfois aussi des communautés.

De nombreux échanges eurent lieu entre le Frère CARRERE et plusieurs membres de l’assistance natifs de Madagascar. Ils ont étayés ses propos et y ont ajouté quelques anecdotes personnelles.

Hélas, les meilleures choses ont une fin, et il fallut bien mettre un terme à ce passionnant moment.

Nous remercions chaleureusement le frère CARRERE pour sa brillante intervention. Il prétend ne pas être un conférencier mais son discours, teinté de modestie et plein d’humanité, nous a touchés et sa prestation n’a rien à envier à un orateur professionnel.

Avant de nous séparer, notre Grand Maistre, Giselle CARRERE invite notre amie Josiane DELHAYE à la rejoindre pour lui remettre la médaille des 20 ans de présence au sein des Anysetiers.

                  

Josiane, fort émue, nous donne rendez-vous dans 20 ans !

 

Après ces instants de grande émotion, nous nous rendons au restaurant Chez Andine, où nous finissons la soirée autour de mets succulents et dans une ambiance chaleureuse et amicale.

Bravo à tous ceux qui ont rendu cette soirée possible.

 

 

 

 

 

L’AROBASE

Commanderie de Saint-Etienne en Forez

(avec l’aide de wikipédia et d’un article du courrier des retraités)

L’arobase, arobas,a commercial, ou at, également appelé arrobase, arrobe, arrobas, escargot, est le caractère typographique @.

L’origine du mot est difficile à déterminer.

Elle pourrait être une déformation récente du castillan arroba(s) qui désigne une unité de mesure de poids et de capacité en usage en Espagne et au Portugal, de grandeur variable selon les régions et les liquides. Ce terme attesté en Espagne depuis 1088, vient lui-même de l’arabe « arroub » signifiant le « quart ». Depuis le XVIe siècle le mot arroba s’est constamment écrit au moyen de l’abréviation @.

L’origine du signe serait la ligature par les moines copistes du latin « ad »(traduit en français par à ou vers, et en anglais at), où le a et le d cursifs ont fini par se confondre.

Ce signe est utilisé sur internet surtout dans les adresses de courrier électronique depuis qu’en 1972, Ray Tomlinson (l’inventeur du courrier électronique), a identifié ce signe comme ne faisant partie d’aucun nom propre. Il sépare le nom de l’utilisateur du nom du domaine de messagerie.

Remise de Don

Commanderie du Nivernais.

Le lundi 12 février 2024 lors de la réunion de bureau le Grand Maistre Jean Paul GAUTHE

et tous les membres présents ont écouté le résumé de Monsieur LUCE Professeur de la Classe de 3ème Défense

au collège les Courlis à Nevers à l’occasion de  la visite à l’Assemblée Nationale , la Commanderie du Nivernais

à fait un don de 250€ pour participer à leurs voyage.