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CHAPITRE MAGISTRAL du 60ème anniversaire de la Commanderie au Domaine de Thais

Chapitre Magistral du 25 Novembre 2017 :

60ème anniversaire de la Commanderie de Touraine.

En ce 25ème jour de l’an de grâce 2017, notre Commanderie vécut un magnifique Chapitre Magistral à l’occasion de son Soixantième Anniversaire. Tout était prévu pour donner à cette fête éclat et joie.Cette belle salle du Domaine de THAIS, mise gracieusement à disposition par notre Grand Maître, et conçue avec un goût très sûr, était enrichie de fleurs d’anis, de blasons et gonfanons.

Dès l’accueil, les convives purent se retrouver autour d’un verre accompagné de canapés. De quoi se mettre en condition, prendre le temps de discuter des dernières nouvelles ou de faire connaissance.

Puis trompettes et Maître de Cérémonie appelèrent la compagnie pour l’entrée des Grands Maîtres et nombreux représentants des Commanderies de l’Anjou, de Chinon Fleur de France, du Choletais, de Laval, de Haute Bretagne, de La Baule, de Loire Océan, de Bretagne sud, de Maine et Perche, du Pays de Léon et du Haut Poitou, ainsi que les membres du Chapitre de Commanderie de Touraine: Accompagnés de Gilles MOSSET, Grand Maître de la Commanderie de Touraine,  nous ont honorés de leur présence les Illustres Dignitaires en grande tenue :  Messire Yves CHAMPION, Grand Maître honoraire de la Commanderie Orléans Sologne et Vice Chancelier honoraire des Provinces Nord et Paris, Messire Michel CHAMPION, Grand Maître honoraire de la Commanderie Maine et Perche, Président honoraire de l’Ordre International des Anysetiers, ainsi que Messire Jean-François BREBION, Grand Maître honraire du Choletais, des Mauges et du Bocage Vendéen, Vice Chancelier des Provinces de l’Ouest, Délégué du Grand Conseil de l’Ordre International.

La cérémonie se déroula selon le rituel, rappelant notre histoire et nos préceptes. CLAUDE PIERRE CHAUVEAU, Grand Maître Honoraire nous présenta un historique fort impressionnant de la Commanderie et de membres éminents qui se sont succédés depuis sa création, comme le Comte de Paris.

Nous eûmes le plaisir d’introniser deux nouveaux postulants JEAN-JACQUES HEBRAS et ALAIN GRAFEUILLE qui prêtèrent serment et goûtèrent lentement et avec une certaine délectation le précieux nectar d’anis.

GEORGES JAMET et CLAUDE PIERRE CHAUVEAU furent remerciés pour respectivement leurs 30 et 20 années au service de notre Commanderie. Et nos amis LEANDRE POURCELOT et ALAIN COUSIN, félicités pour la médaille de la Légion d’Honneur dont ils ont été gratifiés.

La cérémonie se termina par un don de 300€ pour les victimes du tremblement de terre de MUCCIA, de 1000€ à l’Association TOURAINE-VIETNAM, représentée par Monsieur ROUSSEL, ainsi que 1000€ à la Fondation Thérèse et René PLAGNOL pour leurs recherches sur l’autisme, représentée par Léandre POURCELOT.

Les festivités se poursuivirent par un apéritif et un excellent repas pris autour de tables joliment ornées de fleurs et garnies de petits cadeaux. Alain et Clotilde COUSIN évoquèrent au préalable les célébrités médicales tourangelles, thème de l’année. Mais très rapidement les convives s’élancèrent sur la piste de danse.

Un grand silence et l’obscurité annonçèrent l’immanquable gâteau d’anniversaire auréolé de feux scintillants et de bouteilles de champagne.

La soirée prit fin vers deux heures du matin. Et chacun, comblé, regagna sa voiture au pare-brise givré, mais le cœur chaud et la tête pleine de souvenirs.

 

Arboretum de Veigné

ARBORETUM DE VEIGNE

 

En cette matinée du 21 d’octobre, Sieurs et Belles Dames Anysetières se sont retrouvés à l’arboretum de Veigné sous la houlette de Michel DAVEAU ou DAVO de son nom d’artiste, propriétaire de cette ancienne carrière de sable. Autour de deux plans d’eau, refuges de hérons en quête de nourriture,  s’est élevée une forêt, magique en cette saison riche des mille dégradés de verts, d’ors et de rouges intenses. Une multitude d’espèces venues de tous pays cohabitent : bambous, robiniers, séquoias d’Amérique, poivre du Suichuan,  cyprès chauves, eucalyptus du Chili, papyrus d’Italie, mahonias de Chine, bouleaux de l’Himalaya et tant d’autres… Notre guide nous fit partager sa passion pour une végétation libre de croître selon les lois naturelles, sans utilisation de produits chimiques. Il nous expliqua l’utilisation de certaines espèces par l’homme. Saviez-vous que la bardane est à l’origine du velcro ; ou que la bourre du palmier de Chine servait à faire des imperméables ? Que les fleurs de lierre étaient mellifères et précieuses pour les abeilles à l’automne ? Notre déambulation fut agrémentée de tableaux sur verre créés à partir de composte, œuvres de notre hôte ou d’artistes locaux, d’un pavillon au toit de chaume, et de perspectives romantiques sur l’étang couvert de nymphéas et peuplé de carpes bondissantes quand leur furent lancées quelques morceaux de pain.

Cette promenade revigorante dans l’air frais du matin, sous un ciel un peu gris, mais percé par moment d’un rayon de soleil, nous mit en appétit pour un repas joyeux et comme toujours amical. 

Savonnières, au fil de l’eau

En cette resplendissante journée de Septembre, les membres de notre noble Confrérie des Anysetiers, se sont retrouvés à Savonnières, ravissant village au bord du Cher, digne des pinceaux de peintres, pour visiter, ripailler et rêvasser.

Monsieur Deffontaines, propriétaire de l’antique moulin à eau, homonyme, nous accueillit fort chaleureusement et nous fit revivre cette élégante bâtisse adornée d’une tourelle.  Certaines traces le font remonter à l’époque gallo-romaine. Puis  l’évocation d’un moulin du XIIème siècle, dit de Fontenay. Grands ou petits, les moulins étaient nombreux autrefois à rythmer la vie des paysans. Ces derniers apportaient le grain, et au passage ouvraient leur bourse pour verser au Seigneur la taxe, et au meunier son dû. Sur le flanc, une fosse profonde, autrefois souterraine, accueillait la roue à godets aujourd’hui disparue, alimentée par un ruisseau ; ou lorsque le débit était trop faible, par une réserve située au niveau supérieur. Nous l’atteignîmes, encadrée de verdure, par un vieil escalier aux marches usées. Le moulin a cessé son activité  en 1949.

Riches furent les informations : vocabulaire, techniques, mécanismes, matériels et outils : double meule accélérant la vitesse, cordages, trémies…; nombre d’objets que nous pûmes découvrir. Aujourd’hui la farine est produite par des méthodes industrielles; mais le principe reste identique.

Les moulins à vent ou à eau sont inscrits dans l’imaginaire collectif. Pour preuve, les chansons, tableaux, photos et autres reproductions.

 Il était temps de reprendre des forces autour d’un succulent repas au restaurant des Cèdres. Puis,  pour une agréable digestion, de nous laisser bercer dans une vaste gabare glissant sur le Cher entre miroirs d’eau et risées, le visage caressé par les rayons d’un soleil chaud, mais juste ce qu’il fallait.

Une bien agréable sortie unissant gaité, enrichissement culturel, et plaisir des papilles, sans oublier le bonheur d’être ensemble.

 

 

 

 

 

Montrésor, un authentique joyau de Touraine

Si le soleil s’était manifesté davantage en ce début de juillet, nous aurions pu vous imaginer découvrant un joli village du midi. Pas de pluie, heureusement! Les ruelles, bordées de maisons en tuffeau, dévalent depuis le château fortifié jusqu’aux bucoliques rives de l’Indrois. La visite fut commentée par l’un des descendants du Comte polonais Branicki,  qui racheta cette forteresse bâtie au XIème siècle par le célèbre Foulques de Nerra, et occupée par plusieurs grandes familles, qui la transformèrent à la Renaissance. Le Comte fut conseiller du futur Napoléon III et co-fondateur du Crédit Foncier de France et des Chemins de Fer Français. De pièce en pièce, une importante collection de tableaux de grande valeur, en particulier de l’école italienne, et des portraits de famille de belle facture.

L’appétit venant, nous pûmes apprécier un joyeux repas dans un univers troglodyte. La panse satisfaite, notre curiosité nous poussa vers la halle des Cardeux du XIIème siècle, abritant une magnifique collection de gemmaux parfaitement mis en lumière. Cet art, proche du vitrail, et trop méconnu, mérite notre reconnaissance et notre admiration. Nous nous sommes ensuite acheminés vers la Collégiale du XVIème siècle, riche de ses gisants et d’un tableau de Philippe de Champaigne. Une dernière promenade romantique au long de l’Indrois,  avec son lavoir, son écluse,  son pont de fer et ses jardins fleuris acheva cette journée hors du temps. La vie paraît bien douce à Montrésor.

Soirée Viet Nam – Le culte des Ancêtres

LE CULTE DES ANCETRES AU VIET NAM

En ce 17ème jour du mois de Mars de l’an 2017, Messires et Gentes Dames Anysetiers se sont retrouvés en terre orientale au restaurant « Le Viet Nam » à Tours.

Après les joyeuses salutations d’usage, et l’installation aux tables colorées, un savoureux repas  vietnamien aux subtils aromes réjouit nos papilles. Puis Jean-Jacques ROUSSELLE, Président de l’Association Touraine Viet Nam, nous en présenta les axes culturels et caritatifs, permettant de promouvoir les liens entre nos deux pays. Notre ami conférencier produisit ensuite quelques données: une population de 95 millions d’habitants répartie sur 330 000 km2, à peu près un quart de la France, essentiellement regroupée sur les côtes; 1/10ème de notre PIB; une croissance de 6,7% par an. Pays multiethnique avec l’existence de nombreuses religions dont particulièrement ancré dans les pratiques sociales, le confucianisme avec les trois règles d’obéissance au prince, du fils à son père, de la femme à son mari. Puis il replaça le thème de la soirée dans un contexte historique et légendaire: Environ 2000 ans av. JC, la reine des montagnes et le dragon des mers s’unirent  pour donner naissance à 100 œufs. Ils  se les partagèrent pour créer les ethnies, hors l’un d’entre eux, qui fut à l’origine de la première dynastie.

Le culte des ancêtres est au cœur de la vie sociale et familiale des Vietnamiens. Il instaure une cohésion clanique autour de l’autel familial consacré. Mourir, c’est aller rejoindre le Palais des neuf sources. C’est passer du Yang au Yin. Les défunts accompagnent les vivants au long de leur vie dans tous les évènements, d’où l’importance accordée aux rites liés à la mort. Il influence également le langage et les rapports entre les individus, se révèle dans les marques de respect, surtout envers les personnes âgées, et dans les strates sociales. Ce culte, interdit à certaines époques par le catholicisme et sous certaines dynasties, fut reconnu officiellement dans le Droit vietnamien en 1995. Avec à l’appui photos et vidéos, Monsieur Rousselle nous décrivit les étapes du rituel mortuaire, de la purification des corps, à l’inhumation, puis l’exhumation et le lavage des ossements, jusqu’aux repas de fin de deuil, trois ans après; durée réduite aujourd’hui à 49 jours compte tenu des modes de vie actuels. La cérémonie du souvenir ainsi que celles des âmes errantes dont le culte ne peut être célébré en famille lors de l’absence de descendants mâles, reste vivante le jour du TET, le Nouvel an chez eux.

Notre Président remercia chaleureusement notre invité et lui annonça que la Commanderie de Touraine souhaite aider cette association avec pour but la participation au salaire d’un enseignant du français dans une école vietnamienne.

Association Touraine-Vietnam : tél. : 02.47.54.72.35 – Courriel : asso@touraine-vietnam.fr

3 rue Edouard Manet 37540 Saint-Cyr-sur-Loire. Site internet : http://touraine-vietnam.fr

Moulin de la Planche et “vitalothérapie”

SE SOIGNER, C’EST S’ECOUTER par le Dr BALLESTEROS

En ce 2 décembre de l’an 2016,  seigneurs et gentes dames Anysetiers se sont réunis au Moulin de la Planche où crépitait un bon feu de bois favorisant par ce temps de frimas la chaleur des échanges et la bonne humeur.

Après une présentation de l’historique du moulin, et un bien délicieux dîner, le Docteur BALLESTEROS nous a appris dans un discours dense, clair, et avec humour, comment tenir tête à la maladie par d’autres voies que  par la médecine traditionnelle. Il  propose une nouvelle approche de notre corps : Permettre à notre organisme de s’auto-guérir en pratiquant la méthode DREAM qu’il a mise au point: Drainer notre organisme, Rééquilibrer notre écosystème digestif et immunitaire, Equilibrer notre système émotionnel, Magnifier notre environnement. Autrement dit, dans notre langue un REVE, une pratique destinée à privilégier nos défenses naturelles et non simplement à agir sur les symptômes des maladies. Le Dr BALLESTEROS pour ce faire, a accumulé de nombreuses expériences en se frottant aux médecines et gymnastiques orientales, à la phytothérapie, à l’acupuncture, au yoga, aux diverses manipulations corporelles… Chaque patient est singulier et les organes de son corps se répondent. Ses émotions agissent sur le système neurovégétatif et se traduisent en signes physiques. C’est « la maladie inconnue », qu’il faut traiter afin que le corps puisse réagir sans faire appel à trop de chimie. Cette approche qu’il nomme  la Vitalothérapie   apprend à se connaître mieux.

Présent sur la toile  et dans les média, le Dr BALLESTEROS diffuse ses découvertes à travers de nombreuses conférences en France et à l’international, ainsi que par la publication chez Robert Laffont d’un ouvrage intitulé : « Se soigner, c’est s’écouter ».

Après de nombreux échanges, notre compagnie s’égaya, pour la plupart d’entre nous, bien curieux et convaincus des principes et des perspectives offertes par notre conférencier.

 

Les Espions des Lumières

LES ESPIONS DES LUMIERES.

En cette soirée du 13 octobre de l’an de grâce 2016, l’honorable assemblée des Anysetiers s’est réunie pour ouïr Stéphane Genet, éminent historien et spécialiste du XVIIIème siècle.

L’espion évoque un univers de mystère et d’intrigues, un monde d’aventuriers sournois, mais aussi parfois chevaleresques s’il défend une cause reconnue bonne. « Le second plus vieux métier du monde avec encore moins de principes moraux ».

Le XVIIIème siècle est une période de transition entre la Royauté absolue de Louis XIV et la Révolution. Lors des guerres de Succession et de la sanglante et dévastatrice guerre de Sept ans, les conflits furent nombreux et s’étendirent non seulement en Europe, mais de l’Asie à l’Amérique. Avec peu d’évolution technique ou stratégique, l’effet de surprise pouvait être  un atout. L’espionnage s’avérait utile, même s’il n’était pas décisif. Le Maréchal de Saxe, vainqueur de Fontenoy  fit bon usage de ceux que l’on nommait alors « agents ».

Mais qui étaient ces personnages de l’ombre, le plus souvent méprisés, risquant la pendaison pour trahison ? Loin d’appartenir à une organisation, telle aujourd’hui la CIA ou Les Renseignements Généraux, le plus souvent isolés, ils étaient engagés par un commanditaire. Paysans, commerçants n’attirant pas la suspicion, prisonniers ennemis, le plus souvent des militaires, il leur était généralement demandé des qualités multiples pour pouvoir s’adapter à toute situation, être aptes à capter les informations les plus diverses, savoir les coder, relever des cartes, éventuellement maîtriser des langues étrangères… Pourquoi, avec si peu de reconnaissance, prenaient-ils autant de risques? s’interroge-t-on. Notre conférencier  en résume l’intérêt par l’acronyme MICE: money, idéologie, chantage, ego. Dans un environnement guerrier, les plus prisés étaient les militaires, dragons, hussards ou autres. Ceux-ci, s’ils étaient pris parvenaient assez souvent à éviter les châtiments : fuite, négociation, éventuellement procès. S’attribuer des agents était un enjeu de pouvoir : contribuer à la remontée des informations vers un supérieur, vers les ministres et le roi,  pouvait attirer leur faveur. Les agents étaient des pions pour la construction de l’Etat.

Outre dans le secteur militaire, l’espionnage s’infiltrait partout : à la cour, dans la police, avec ceux que l’on appelait «  les mouches », dans l’univers domestique, économique… N’est-ce pas toujours le cas ? !En tout état de cause, et sauf exception, le métier, généralement de courte durée ne rapportait que très peu !

Après ce passionnant récit, nous avons replongé dans le XXIème siècle autour d’un repas toujours joyeux et convivial.

NB. Stéphane Genet nous invite à participer au cycle de conférences des Salons de Choiseul les 17 et 18 novembre.  Cf. Site internet pour inscription.   

 

 

Les jardins de La Boulas – La passion des plantes

ANYSETIERS 24 SEPTEMBRE 2016

En ce tout début d’automne merveilleusement ensoleillé, Seigneurs et Dames   Anysetiers nous sommes retrouvés à Cérelles au Jardin de La Boulas, tapi dans un charmant vallon. Le Sieur Gérard TALBERT, Prince des lieux, nous accueillit dans nos carrosses qui purent se s’installer dans l’herbe folle. Des animaux paissaient paisiblement dans la prairie. A notre vue Pédro l’âne et sa compagne Pédrolette trottinèrent allègrement vers notre groupe, bientôt suivis de Pédronille le cheval blanc et Cocotte, la poule fétiche. L’échange fut affectueux, bavard et enjoué.

Nous fûmes bientôt dirigés vers l’entrée du jardin. Notre hôte nous présenta sa compagne Jacqueline, responsable de la botanique et Michel, spécialiste des plantes et insectes. Gérard, quant à lui, est le visionnaire paysagiste. Sur ce terrain pentu de terre glaise,  autrefois champ à vaches, il fit, tel un magicien, surgir 1931 variétés d’espèces, presque autant qu’au Botanique, ajouta-t-il avec fierté. Arbres, arbustes, et plantes de tous horizons, se disputent l’espace, au milieu desquels se tapissent  un peu partout oiseaux, batraciens et petits mammifères factices. Bassins et « cascadettes » nous surprennent au détour d’un sentier. La période et la sècheresse de l’été ne nous ont pas permis d’admirer la végétation dans toute sa splendeur. Il faudra revenir en juin où fleurs et feuillages offrent la fraîcheur et l’éclat de leurs couleurs.  Nous avons cependant appris beaucoup sur les espèces,  voyagé mentalement dans le monde, et admiré le courage et la patience nécessaires pour une telle entreprise initiée en 2004. Mais aussi la passion pour réaliser un tel rêve ; passion qu’a su nous communiquer le maître des lieux.

Puis, comme à l’accoutumé, nous avons repris nos montures pour aller festoyer en grande joie au Bistrot de la Bulle Verte.